Sarko a parlé une nouvelle fois de la crise grecque, le 27 juillet, en Conseil des ministres.

« Il y a au moins un point positif, a-t’il dit, dans le cadre de cet accord sur la dette grecque. C’est que l’on pas entendu les piaillements habituels sur l’axe franco-allemand. Sans ce couple, rien n’aurait été possible. C’est nous qui avons été à la manœuvre avec l’Allemagne. La France et l’Allemagne représentent 55 % du PIB de l’Union. Si tous les pays au sein de l’Union ont les mêmes droits, ils ont aussi les mêmes devoirs ».

Conclusion de Sarko : « L’Europe sera fédérale à 17 (pays de la zone euro) et confédérale à 27 (pays de l’Union européenne). Il faut une gouvernance économique européenne, et c’est cela, le vrai sujet qui attend l’Europe ».